Lors des
débats budgétaires, la municipalité a ouvertement mis en
cause la politique du Gouvernement lui imputant la
dégradation du pays, le chômage, les licenciements ou
la hausse des taux
d'intérêt. Mais à qui la faute ?
Comment les
responsables de la municipalité peuvent-ils charger la
responsabilité d’un Gouvernement qui, au contraire,
s'efforce de remettre le pays sur la bonne voie ? Pourquoi
nier le travail accompli par Jean-Pierre RAFFARIN qui,
depuis un an, s'est attelé avec courage à réformer enfin
notre pays.
Au-delà des
dégâts de 20 ans de socialisme, comment ne pas voir aussi
les conséquences de la situation internationale ? Elle
incite les entreprises à attendre faute de visibilité
économique ; les tensions nées de la situation irakienne
pèse de surcroît sur les cours du pétrole en entamant la
confiance des ménages et limitant leur consommation. Quid
encore du désastre social et économique provoqué par les
modalités d’application des 35 heures ?
Quant au « je
t'aime, moi non plus » qu’un tract du parti socialiste
de Cachan écrivait sans fondement à propos des élus, la
municipalité est mal placée pour donner des leçons de
morale à la droite Républicaine : on voit combien la
gauche plurielle s'aime et s'adore depuis les élections de
2001 !
A notre
sens, la politique menée par la municipalité tient plus du
communisme et de la méthode Coué que du socialisme
démocratique. Une question s’impose : où s’arrêtera la
communalisation de Cachan ?
Gilles
DAVID
Avec
Christine CHARPENTIER, Christophe Al YOUSSEF et Patrice
HERNU
http://ensemblepourcachan.free.fr
- 06 79 71 35 73 – ensemblepourcachan@online.fr
|