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L’homme
a t-il tous les droits ? Evidemment non !
Une
collectivité peut-elle botter sa responsabilité « en
touche » ? Voici deux exemples sur Cachan.
1.
Pigeons :
« … on répète chaque année la capture et la mise en
caisson qu'on vide d'air, afin de tuer, de la façon la
plus atroce… On vide progressivement l'air, les os (des
pigeons) se fracturent, le stress, l'étouffement… les
organes s'écrasent, les poumons se déchirent. Douleurs
atroces...»
Ainsi
s’exprime à Cachan la société protectrice des oiseaux de
ville (SPOV)
que le
Maire devrait entendre. Car la précaution légitime prise
pour éviter de transmettre une maladie à l'homme –
possibilité non avérée - est ici sans effet : les pigeons
vont sur les autres balcons ! Pourquoi ne pas mettre en
place des pigeonniers contraceptifs ? Cela éviterait de
retrouver « les rescapés de ces rafles atrocement blessés,
le jabot ouvert ou les pattes coupées » et de donner, une
fois de plus, à nos enfants le spectacle d’une violence
banalisée.
2.
Canicule et autre violence liée à la déresponsabilisation
sociale : celle que viennent de subir nos anciens et le
personnel des Maisons de retraite de Cachan. Ils ont fait
le maximum pendant la canicule. Le problème est ailleurs !
Le respect
de l’environnement, au sens large, naturel, animalier,
culturel, spirituel, scolaire et sanitaire est la première
condition d’une vraie éthique sociale.
La collectivité doit aussi assurer sa responsabilité.
Christophe
AL YOUSSEF avec
Patrice HERNU et, Gilles
DAVID
http://ensemblepourcachan.free.fr
- 06 79 71 35 73 – ensemblepourcachan@online.fr
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